Roland AE Collignon
- Artistes peintres -
Je m’appelle Roland Edgar Collignon, j’ai 71 ans et vit actuellement dans la région liégeoise. Comme beaucoup d’enfants, j’aimais dessiner, je copiais des personnages de Bd et des tableaux accrochés au mur. Je n’ai pas arrêté. Je suis allé à l’école comme tout le monde, j’ai décroché un graduat, après être passé par l’académie des beaux arts de Liège. Seuls les arts m’intéressaient. Puis je me suis mis à écrire des histoires sur une vieille Remington, je ne suis jamais content de ce que je fais, j’ai donc effacé pas mal de tableaux et jeter beaucoup de pages écrites. En général, un tableau en cache souvent un autre sur la même toile. Je suis passé par différents stades aussi bien en peinture qu’en écriture, j’ai rencontré de belles personnes aussi, et tout cela m’a aussi construit, car on est peu de chose sans les autres, beaucoup d’événements ont façonné mon état d’esprit et ma façon de voir. Par contre, je n’ai pas cherché à exposer mes travaux, mais j’ai participé, ni à faire éditer mes manuscrits, bien que trois livres sont sur Internet, « Le comte de Saint Germain- entre mythe et réalité », La Kundalini – une corde pour remonter de l’enfer » - l’Ascensionneur ( Ed Dricot) passé au pilon est remplacé par « Les Travaux d’Avner » est une auto publication - et « de Carrosse en citrouille » - Edilivre.
Je pense aujourd’hui que nous avons tous la même potentialité au départ, comme si on avait des layences en nous à actualiser, ce qui nous donne pas mal de boulot, certains l’activent dans différents domaines. Le maçon, l’ébéniste, le chirurgien et bien d’autres sont des « artistes » à mes yeux.
Comme un indien dans une réserve
de visages pâles
Seconde partie et fin
Je vais me répéter en déclarant que je préfère rester à l’écart pour des raisons que j’ai déjà expliquées, ainsi que sur le choix de rester vague sur les questions très sensibles. Ce n’est pas mon rôle d’en parler et les livres que je pourrais écrire ne seraient pas complets, donc je m’abstiens. Ce n’est pas un livre qu’il faut construire, mais la société, préparer, favoriser la rencontre, aller vers les autres.
Je ne m’occupe pas non plus des documents classés ou de la vie privée des gens. Ça ne me regarde pas. D’ailleurs, je ne veux rien savoir à ce sujet, ni rien voir.
Difficile d’exprimer cette idée afin de bien être compris, je reviendrai sûrement sur ce texte. Disons que notre conception générale, cette vision de ce monde, de ce système, cette poussière de l’infini, se conforme à l’ensemble de principes très strictes, sans angles, mais rigides, une analyse consistant à penser, agir, parler et écrire en parfaite adéquation et ce n’est pas facile. C’est une sorte de « radionique » positive et le « protocole » dont je parlais est le reflet d’un comportement conforme aux Lois Cosmiques, à vocation de bien absolu, comme l’énergie primale, vitale, créatrice, cristallisatrice, etc.
Une personne croyante ou spirituelle se doutant que le Dieu de son cœur est capable de lire dans sa pensée adoptera le comportement dicté par sa conscience dans la mesure où cette énergie est activée.
Ce n’est plus le tourment qui la domine, mais d’autres forces dont elle pourra mesurer l’impact tout au long de son existence, car il y aura des signes, des manifestations, et à ce moment, on comprend mieux que cette forme d’atypisme ne va pas forcément l’aider, même au niveau de son taux vibratoire qui sera souvent perçu par d’autres comme une interférence.
Nous avons une sorte de cahier général des charges – je pense avoir déjà écrit ceci - avec des règlements très précis à respecter, un protocole, et il ne s’agit pas ici d’imagination ou d’une construction mentale, je ne suis qu’une sorte d’instrument éphémère, un terrien de passage dans une jungle. Et pour conclure dans la bonne humeur, on pourrait se souvenir de l’ACME des Looney tunes, « A Company Makes Everything », la compagnie qui fait tout, dont les fameux produits utilisés par le Coyote pour attraper Bip Bip…non pas que l'on tente d'attraper qui que ce soit, mais nous avons notre boite à outils et une trousse de secours.